Marre de l'Eco Anxiété ? Découvrez l'Eco insouciance !

Marre de l'Eco Anxiété ? Découvrez l'Eco insouciance !

58% des jeunes sont eco anxieux ! Et si nous devenions Eco insouciant ? 

C'est en rencontrant Floraine Cordier que nous avons découvert un concept génial... Celui de l'éco insouciance !

 

L'eco insouciance remède à l'éco anxiéré

L'eco insouciance c'est quoi ? 

Dans un monde culpabilisant sur l'avenir de la planète, dans lequel l'avenir semble des plus sombres, quel plaisir d'avoir rencontré Floraine CORDIER ! Pleine d'humour, d'envie de succès, de plaisir et de punch, elle avait depuis très longtemps intégré nos cotons lavables dans ce guide d’achat.
Forcément, cela nous a donné envie d'aller vers elle pour vous faire partager tout ce positivisme ! Alors, nous lui avons posé ces quelques questions... 
 

Floraine, c'est quoi un "coach C02" ? 

 Je suis coach CO2, c'est-à-dire que j'accompagne les particuliers qui souhaitent réduire leur empreinte carbone. Avec la multiplication des événements climatiques, de plus en plus de personnes ont pris conscience qu'il fallait agir.

 

Pourtant, réduire son empreinte carbone à l'heure actuelle est loin d'être une promenade de santé ! 

Cela fait 50 ans que l'on communique autour des mêmes éco-gestes, tandis que personne n'est là pour nous dire que les enjeux ont changé. 

Aujourd'hui, sauver le climat, c'est s'attaquer à des sujets tels que l'avion, la voiture, la viande, le chauffage ou les achats, pour atteindre l’objectif de 2tonnes de CO2.

Sur des sujets aussi importants, on peut vite se retrouver bloqué ! 

C’est le cas de l’une de mes abonnées, par exemple, qui a essayé de faire goûter un steak végétal à toute sa famille. Tout le monde a détesté ! Et faute d’accompagnement, leur transition alimentaire s'est arrêtée là.

les steack vegan pas toujours appréciés

Il y a un véritable gâchis de bonne volonté qui s'opère au moment du passage à l'action, à cause de petits trucs très concrets.

 

C’est effectivement plus difficile qu’il n’y paraît ! Comment t'es venue l'idée de tenir un blog ?

Pour moi, ce format était assez naturel car j'avais déjà créé un blog sur la démocratie participative, Politty, il y a quelques années.

Mais surtout, j'étais abonnée moi-même à d'autres blogs, comme un blog de soutien pour les mamans épuisées, et j'avais adoré ce format qui crée de l'identification. 

On est plus susceptible d'agir lorsqu'on voit que quelqu'un qui nous ressemble est arrivé à s’en sortir ! 

Je crée également des vidéos humoristiques sur ma chaîne youtube MaCoachCO2, pour aider les gens à passer concrètement à l'action. Ce n'est pas parce qu'on traite d'un sujet grave qu'on doit nécessairement être déprimé ! 

La joie et la bonne humeur sont d’ailleurs des fils conducteurs de ma méthode de coaching.

Je considère que les transformations destinées à tenir sur la durée doivent forcément représenter un bénéfice pour l'individu. On ne peut pas tenir 10 ans juste en faisant un effort !

 

A notre connaissance, il n’existe pas d’autres “Coach CO2” aujourd'hui : comment as-tu eu cette idée ?

Il existe effectivement des coachs en transition écologique mais pas de coach focalisé sur ces questions de climat. 

De mon point de vue, le climat va engendrer d’énormes bouleversements et c'est un sujet qui mérite de l'attention à part entière, même si on va évidemment toujours tenir compte d'autres impacts environnementaux.

Là où j'ai eu cette idée, c'est qu'à un moment il m'est devenu insupportable de faire partie des personnes qui contribuent à la catastrophe climatique :un peu comme Brigitte Bardot qui avait décidé d'arrêter de porter des manteaux de vison pour arrêter de contribuer à leur massacre ! 

À partir de là, il s'en est suivi une longue traversée du désert où j'ai eu beaucoup de mal à trouver les conseils adéquats, la démarche chiffrée… 

J'ai aussi cette expérience d'avoir essayé trois fois de réduire ma consommation de viande, en ayant échoué les deux premières fois. 

C'est la troisième qui a été la bonne, à force de persévérance et en ayant compris des trucs que je n'ai trouvé nulle part depuis, comme les 4 caractéristiques qui permettent de rendre les plats végétariens aussi savoureux que des plats classiques !

Mais tout le monde n'a pas cette persévérance et beaucoup de gens abandonnent faute d'avoir les bons conseils.

Les difficultés que j'ai rencontrées étaient en décalage complet avec les sites web écolo que je trouvais sur Internet et qui disaient “viens, fais comme moi, je suis devenue végétarienne en 3 jours, c'est hyper facile”.

Ces discours de simplicité sont en fait assez totalement démobilisant pour quiconque n'a pas de facilité naturelle sur tel ou tel sujet, c’est-à-dire la grande majorité des gens ! 

 

réussite de la transition 

Sur ton blog, tu parles de petits trucs très concrets de la vie quotidienne pour réussir à réduire son empreinte carbone, et pourtant tu as un parcours qui englobe bien d’autres enjeux.

Peux-tu nous détailler ton parcours ?

Bien sûr ! J'ai eu une grosse prise de conscience de la question du climat en 2006, en voyant le film Une vérité qui dérange de Al Gore. 

Ce n'est que très récemment que j'ai mis les mots sur ce qui s'est passé ensuite. Aujourd'hui, on dirait que je suis une éco-anxieuse, même si de mon côté j'ai plutôt inventé le terme “d’éco-surmenée” pour me qualifier. 

C'est bien un stress énorme qui m'a ensuite amenée à être dans l'action constante pour le climat depuis plus de 15 ans.

J'ai tout testé, par des périodes de 2 à 3 ans !  Je recherchais un maximum d'impact. 

Après ma première expérience professionnelle en tant qu’ingénieure, je me suis reconvertie comme Économiste du climat et de l'énergie, et j'ai travaillé dans le secteur de la transition énergétique pendant 10 ans. 

En parallèle de mon travail, j'ai milité dans l'écologie politique, et j'ai eu la chance de devenir conseillère municipale à Issy-les-Moulineaux : dans l'opposition, bien sûr !  

Entre-temps, j'ai aussi fondé et animé une association de Ville en Transition, qui vise à mettre en place des actions concrètes contre le changement climatique au niveau local. C'est nous qui avons obtenu les premiers composteurs collectifs de la ville, des ateliers de réparation de vélo, etc.

J’ai aussi fait toute une série d'expérimentation dans ma vie personnelle : vélotaf, lombricomposteur, zéro déchet, potager urbain, couches lavables…

Si j'avais su à cette époque-là que l'impact sur le climat de toutes ces actions était très faible, j'aurais peut-être arrêté plus tôt de prendre l'avion !

C'est grâce à ces 15 ans de recul sur ce qui a de l'impact ou ce qui n'en a pas, tant au plan individuel que collectif, que je guide aujourd'hui les abonné·e·s à ma newsletter.

Avec toutes ces personnes qui ont fait leur prise de conscience récemment, je voudrais vraiment éviter qu'elles passent elles aussi 15 ans à partir dans tous les sens et à perdre du temps pour réduire drastiquement leurs émissions de gaz à effet de serre, car du temps, nous n'en avons plus ! 

 

Comment en es-tu venu à recommander les produits des tendances d’Emma ? 

Je publie régulièrement autour du Zéro Déchet  car je trouve que c'est quelque chose d'idéal pour se mettre à l'écologie et pour toucher du doigt la joie que l'on peut éprouver quand on sauve la planète. 

C'est cette même joie qui va ensuite servir à s'attaquer à sa chaudière au fioul ou à son régime alimentaire, des sujets très costauds !

A chaque fois que l'on utilise les cotons lavables des Tendances d’Emma, on peut éprouver tous les jours cette satisfaction de ne pas gaspiller, d'utiliser un joli objet qui a été confectionné en France dans une démarche solidaire, de participer à quelque chose de plus grand que soi, et c'est déjà énorme !

Si j'ai recommandé les cotons lavables des tendances d’Emma, c'est à cause de mon passé professionnel dans la conception de services à la maîtrise de l’énergie pour le grand public ! 

J'ai appris à regarder toutes les phases de l'utilisation d'un produit, ce qu'on va appeler “l'expérience utilisateur”, pour déterminer si l'utilisation va être agréable ou non.

Et clairement, il y a trop de vendeurs de produits Zéro Déchet qui négligent l'expérience d’utilisation.

 

Avec les cotons lavables des Tendances d’Emma, j'ai tout de suite compris que le produit avait été conçu par quelqu'un qui utilise vraiment cet objet dans sa vie quotidienne.

Tout y est : la boite de rangement, le coton double-face en fonction de l’utilisation, le tissu gris pour éviter les traces de mascara, et le sachet de rangement des cotons utilisés, qui sert aussi à ne pas perdre le coton lors du lavage.

Chapeau ! 

Pour avoir eu la chance de discuter avec elle, j'ai aussi beaucoup accroché à la personnalité d'Emma elle-même, qui a monté son entreprise sans aucune concession sur le plan solidaire et environnemental, là où tout le monde aurait externalisé en Chine. 

On a vraiment besoin, et moi la première, de modèles d'entrepreneuriat au féminin, pour montrer qu'une autre entreprise est possible, vertueuse, plus petite, axée sur la dissémination et la transmission des expériences, au lieu de viser le CAC40 à tout prix !  

Le parcours d’Emma est pour moi une source incroyable d'inspiration.

 Emma et son fils

 

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